Dans la seconde moitié du 20e siècle, le Québec entre dans la modernité et les très beaux Bungalows du croissant des Dirigeants illustrent bien le courant nord- américain qu’adoptent les Québécois.
Le perfectionnement des techniques d’assemblage des revêtements de tôle et l’introduction du papier goudronné permettent de nouvelles formes de toits. La maison cubique coiffée d’un toit à quatre versants peu prononcés ainsi que le modèle Boomtown avec son toit à pente douce sont simple à construire, très logeable et accessible.
Au tournant du 20e siècle, la croissance démographique, l’industrialisation de la production, le développement du transport par train, et la diffusion de plans dans les catalogues et les revues spécialisées facilitent l’implantation de nouveaux modèles très populaires chez nos voisins américains. La grande famille du vernaculaire américain comprend les cottages vernaculaires, les maisons cubiques et les maisons
Au début du 20e siècle, la diversité des styles permet désormais de personnaliser l’habitation. Les architectes empruntent parfois des éléments de décoration à différentes époques, on qualifie alors ce style d’éclectique. Situé à proximité de Montréal, borné par la rivière et ses plages de sable, le village de Saint-Paul L’Ermite offre le cadre champêtre idéal pour
La maison d’esprit victorien La maison de villégiature L’ère victorienne qui s’amorce dans la deuxième moitié du 19e siècle marque l’arrivée de la maison d’esprit victorien qui englobe différents styles inspirés du passé, dont le néogothique, le néoclassique, le Second Empire, etc. La maison d’esprit victorien se distingue par la recherche des effets, chaque élément
À la fin du 19e siècle, la modernisation des techniques de chauffage et de construction contribue à populariser le modèle à toit brisé aussi appelé « à la Mansart ». Il permet une meilleure utilisation de l’espace à l’étage et répond aux besoins des familles nombreuses. La popularité du style Second empire dans les édifices
Au 19e siècle, le modèle québécois prend forme. Le toit galbé s’éloigne des murs porteurs et se prolonge jusqu’à couvrir la galerie qui gagne en popularité, après 1850. On réduit le volume des cheminées, car le foyer est progressivement délaissé au profit du poêle à bois qui améliore le chauffage et permet d’habiter l’étage. Fenêtres
La maison de pierre sise au 326, rue du Village fut construite vers 1780. Bien ancrée au sol, presque carrée, ses cheminées massives sont intégrées dans le prolongement du mur pignon qui dépasse le toit. Une partie de cet excédent sert de conduit pour la fumée. Les souches des cheminées étant situées sur les versants opposés